L’Histoire est au service des intégrations de générations

Ce midi, j’ai été invité par le Réseau des jeunes pour l’intégration africaine (RJIA) basé au Burkina Faso à échanger dans un panel autour des défis du panafricanisme.

Invité à proposer quatre actions que pourraient mener les jeunesses africaines pour accélérer l’émancipation de l’Afrique, j’ai élaboré mes réponses autour de Fanon, Cabral, Diop et Nkrumah qui incarnent chacune des quatre actions possibles.

J’ai conclu en soulignant l’importance de s’appuyer sur la transmission féconde des intellectuels solides et sincères dans une période où nous devons produire massivement afin de ne pas laisser l’esprit s’endormir.

L’intégration de générations est aussi le seul moyen de ne pas réinventer la roue du panafricanisme car l’impérialisme a fait de son discours sur la jeunesse africaine l’une de ses postures rhétoriques les plus puissantes.

Les fourmis ne font pas de bruit.

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